Des start ups poursuivies en justice par la marque Pasquier pour l’utilisation du mot « Pitch »

Pourquoi le mot « Pitch » ne devrait pas être utilisé en start ups

« Pitch » est initialement la marque déposée du groupe Brioche Pasquier. Aux dernières nouvelles, ce dernier a dû entamer des poursuites judiciaires à de nombreux start ups qui ont utilisés ce terme, en voulant réclamer devant la loi le respect du droit de la propriété intellectuelle, qui lui a coûté cher. Cette affaire est devenue médiatique et scandaleuse. Les organisateurs d’évènements start ups pour les entrepreneurs ont été étonnés à ce sujet, et ne s’attendaient pas à ce que l’emprunt du mot « Pitch » dans les start ups allait entrainer de graves conséquences, jusqu’à pénaliser ces derniers apparemment. Toutefois, de nombreux projets utilisent des termes anglais, certes n’appartenant pas à une marque, mais qui s’avèrent nécessaires pour donner au projet tout son sens. Alors si ce n’est qu’à utiliser dans les discours, pourquoi tant de poursuite ?

 

Qu’en est-il des poursuites menées par Brioche Pasquier quant à l’utilisation du mot « pitch »

Depuis bien longtemps, le groupe Brioche Pasquier n’a cessé de poursuivre les utilisateurs du mot « pitch ». Et ils ont toujours eu la faveur de la justice quant au droit de propriété intellectuelle. La preuve, l’école du pitch qui donne lieu à des formations d’entrepreneurs a été victime d’opposition auprès de l’INPI ou Institut National de Propriété Intellectuelle, le groupe Brioche Pasquier n’a pas hésité une seule seconde à mener cette décision malgré le fait que beaucoup d’entrepreneurs en subissent les conséquences. Jusqu’à l’heure actuelle, même si l’on pense que le mot pitch devrait être naturellement un terme utilisé dans l’univers des start ups, le groupe Brioche Pasquier refuse catégoriquement cet usage, et ne permet à aucun entrepreneur de l’indiquer ne serait-ce qu’une fois dans l’élaboration de son projet.